LES INFLUENCES GRAVITATIONNELLES RELATIVES

Une explication est nécessaire pour comprendre l'interprétation de notre article sur l'occultation Mars-Uranus du 22 mars 2013.

 

Dans son interprétation du système des 4 sphères (logiciel ZODIAC)Claire Henrion tient compte des influences gravitationnelles des planètes. Les influences gravitationnelles (IG) sont indiquées dans la sphère géo-équatoriale en hélio et géo-centrique.

Claire insiste sur le fait qu'il s'agit d'influence gravitationnelle relative, c'est-à-dire que chaque astre est considéré sur une échelle qui lui est propre, entre son minimum d'IG (à l'aphélie/apogée) et son maximum d'IG (au périhélie/périgée), selon la célèbre formule de Newton qui stipule que :

"La force d'attraction entre deux corps est égale à la masse des deux, multipliée par la constance G de la gravitation, le tout divisé par la distance entre les centres des deux corps au carré."

 

Comme Claire mesure les différentres IG par rapport à un même corps (le Soleil ou la Terre), elle se permet d'ommettre, dans ses calculs, la masse du Soleil ou de la Terre (M) et G qui sont des termes constants. Elle fait donc simplement le rapport masse/distance au carré.

 

Claire tient compte de l'analyse suivante :

  • quand l'IG d'une planète est forte en géocentrique et a une forte angularité : le courant passe bien et la fonction se manifeste comme dominante.
  • quand l'IG d'une planète est faible mais avec une forte angularité : le sujet capte bien mais il n'a pas grand chose à capter ; il va manifester les caractéristiques "transcendantes" ou par défaut de la fonction planétaire.
  • quand l'IG d'une planète est forte mais avec une faible angularité : c'est l'effet "cocotte minute"; le sujet peine à recevoir une telle charge et il peut manifester la fonction dans ses excès.
  • quand l'IG d'une planète est faible avec une faible angularité: il ne se manifeste pas grand chose de cette fonction ; elle oeuvre en silence et sur le long terme.

 

Merci Claire pour ton enseignement !